Faucon crécerelle |
La famille, c'est important,
essentiel même pour le développement de sa personnalité.
Alors une bonne éducation, ça n'a pas
de prix.
C'est pourquoi, les rituels se
mettent en place comme les petites comptines chantées tous les soirs pour
s'endormir.
Ainsi, chaque jour – plusieurs fois
par jour, ils le savent - elle leur amène les repas.
Elle, c'est la maman Faucon Crécerelle, attentive, précautionneuse, aimante, maternelle en somme.
Faim ! |
trop faim !!! |
Pipi... |
On est propre chez les faucons.... les besoins à l'extérieur ! |
Elle sait ce qui est bon pour eux. Elle éduque, protège mais sait rester ferme en leur apprenant le respect, l’hygiène. Tout semble harmonieux, facile, du moins à entendre le babille des oisillons.
Le problème, c'est que nous ne parlons pas faucon !Ils sont tous bien là |
Inquiète ? |
Facile ou non, d'élever des petits dans le monde animal ?
Vraisemblablement, non. À voir les agissements de la maman faucon, on se doute qu'elle est toujours inquiète : tout peut basculer dans l’instant ! Un prédateur, la chute du nid...
Allons, pas si près !!! |
S'absenter peu, c'est la seule
solution pour éviter le drame, elle les aime trop ses petits.
La bonne équation, c'est garder au
maximum un œil sur eux. Alors, vite, elle va chercher la nourriture. Vite, elle
revient. Vite, vite, vite.
Ils sont occitans et touchants ces petits faucons... quelques jours à peine |
Et c'est là toute la difficulté pour
le photographe. Saisir le bon moment : celui de la becquée, celui où elle va
prendre son envol, celui où les petits apparaîtront.
Être là au bon moment, avec le bon
réglage. En résumé, un vrai challenge.
Il y a bien des solutions et nos
chers photographes y sont coutumiers… « La chance » ou… l’affût. Et
la dernière solution est synonyme de longues heures d’attente et pas ou peu de
bruit, bref il faut se rendre transparent, se fondre dans le décor.
Alors
ici chance ou affût ? En tout état de cause, c'est assez réussi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
VOS COMMENTAIRES