jeudi 30 août 2018

UN CERTAIN PREMIER DIMANCHE DE JUILLET

Deux mots en arrivant « c’était bien ! ». Jacques n’est pas ce qu’on pourrait appeler un expansif. Mais la gestuelle qui accompagnait cette courte phrase laissait deviner qu’il avait pris bien du plaisir. C’est donc la lippe joyeuse et d’un pas alerte qu’il rejoignait son bureau pour y lire ses cartes mémoires.
J’avoue avoir été étonnée ! Nous n’avions pas dans notre discothèque, un CD de Jean Jacques DEBOUT, ni même un de ses 45T.

lundi 20 août 2018

SAMEDI 7 JUILLET…

Jacques est réveillé par la sonnerie de son téléphone. Il est un peu plus de 7:30 H. 
Il ne sera pas en retard, trop impatient de rejoindre ses deux compagnons parisiens, photographes eux aussi et de passage dans la région pour quelques jours. Le voilà donc qui prépare sa musette et qui se hâte vers le portail… 
8:15 H, ils partent pour une aventure de douze heures, dans des lieux insolites. Ne me demandez pas où, je ne dirai rien et ce d’autant plus que je ne sais fichtre pas ce qu’ils se sont dits au cours des quelques conversations téléphoniques qui précédaient ce rendez-vous : Dans l’Aude peut être et dans les quelques autres départements limitrophes, allez donc savoir ! Et vous dire que j’en apprenais davantage au cours du repas que nous faisions à la maison le soir serait bien inutile. Mais comme ils m’avaient l’air assez satisfait de leur moisson, c’est d’un commun accord, qu’ils décidaient de repartir en virée dès le lendemain.

jeudi 16 août 2018

OLÉ, bis


Si vous pensez que ce billet va à contre courant de la modernité, si vous pensez qu’il est loin des considérations d’aujourd’hui, loin de ce que Jacques photographie habituellement, c’est qu’il est réalisé pour surprendre, pour éveiller cet intérêt qui touche à tout ce qui est ancré dans la tradition.

Car pour entrer dans ce monde là, il faut en connaître ses racines, les comprendre ou tenter de le faire du mieux qu’il est possible. Et savez-vous comment ?

En étant curieux. La curiosité est sans doute une grande qualité dans le cas présent car de la méconnaissance nait l’incompréhension, la méfiance, voire le repli, le conflit. 
Alors donnons nous la peine de prendre le temps de sortir de notre univers habituel, donnons nous les moyens d’accepter les différences. 
C’est à cette seule condition que nous gouterons à toute la fantaisie qui jaillit d’autres cultures.