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dimanche 10 décembre 2023

SOLEIL DES TROPIQUES POUR UN BERGER D'ESCARGOTS


« Day-O ! », Ce sont les premières notes musicales lancées des coulisses pour lesquelles la salle réagit immédiatement par cet écho spontané « Day-O » !

Attendez, il y a erreur… Reprenons le programme. Il s’agit bien du dernier concert du festival Jazz à CONILHAC.

« Day-O ! », pour la seconde fois, la voix et l’écho se font entendre, plus forts, plus impatients. Lorsque le troisième écho retentit et que mes neurones se connectent, je comprends : premier jour de décembre et dernier concert. N’est pas artiste qui veut, bien vu… la parabole prend tout son sens : « le dernier sera le premier ». 

Et nos derniers vont nous faire chalouper tout de suite avec le banjo de Louis HUCK - dont nous apprendrons par la suite sa filiation avec Daniel Huck, grand saxophoniste familier de Conilhac et de son festival. Le banjoïste et chanteur entre enfin en scène sur cet air d’Harry Belafonte connu de tous… Jour un !

lundi 2 octobre 2023

JOIE ET PARTAGE, C'EST LE FESTIVAL JAZZ DE CONILHAC, CUVÉE 2023


- Il y avait un parfum de curry qui courrait des cuisines grandes ouvertes jusque la Cave à Jazz.Il y avait dans le patio tout aussi parfumé, des chaises alignées sur quelques rangs prêtes à accueillir un public mordu de cette musique venue « tout droit des champs de coton » Sic Valérie DUMONTET du Conseil Départemental. 

- Il y avait Marie qui échangeait avec les élus déjà présents, tandis que Nicolas Grauby (son mari) s’activait aux derniers ajustements de la technique…

- Il y avait des bénévoles et des musiciens qui attendaient sans impatience sous le beau soleil de l’Aude.

- Il y avait cette rangée de pigeons au garde à vous, sur le faîte de la maison d’en face… sans doute là pour la sauvegarde de nos édiles, ou bien est-ce des pigeons voyageurs prêts à dispatcher l’information, à voir. 

Et puis, il est arrivé, ponctuel, ses fiches dans la main, il s’est installé après quelques bises et poignées de main et les chaises se sont animées. Chacun a trouvé sa place, attentif aux premiers propos.

mardi 8 novembre 2022

LA FEMME

RHODA SCOTT LADY QUARTET

 


 

Voilà tout est dit. On pense à la fois à Louis ARAGON et à Jean FERRAT qui chante cette maxime « La femme est l’avenir de l’homme ». Néanmoins… depuis quelques jours, les femmes travailleraient « gratuitement » ? Des études sérieuses l’attestent, les inégalités (salariales ici) entre hommes et femmes perdurent en France comme dans bien des pays. 

dimanche 19 mai 2019

SIGEAN, SUR LA RESERVE !

Saïmiris
Nous voici à Sigean par un beau jour d’avril, un de ces jours de vacances qu’on aime tant parce que les enfants et les petits enfants nous accompagnent.
C’est un privilège d’être là en cette période de l’année, alors même que dans quelques mois il y aura foule.
Quand, enfin nous avons franchi le portail pour profiter du parc en voiture, c’est lentement que nous nous y aventurons au son des « regarde par ici, des Impalas, prends vite une photo », « Oh ! et là bas, les girafes »… 

mercredi 24 octobre 2018

ENTRE TRADITIONS, MODERNITÉ ET POÉSIE

C'est curieux comme la tradition rejoint vite la modernité au travers d'un simple prénom. 
Ainsi MADDIE - prénom si actuel - serait fêtée tous les 22 juillet. Dans ces croisements d'histoires multiples, ce qu'on aime avant tout ce sont les références. Elles nous rassurent et nous rassemblent souvent. 
Or donc, chacun ses théories, ses croyances, ses convictions quant à Marie Madeleine, mais on ne peut nier que le repère est là. 
Ce prénom-fusion swingue joliment entre tradition, modernité et poésie. Et si Marie Madeleine fait écho à l’histoire chrétienne, Maddie sonne lui bien actuel, bien contemporain ! 

lundi 20 août 2018

SAMEDI 7 JUILLET…

Jacques est réveillé par la sonnerie de son téléphone. Il est un peu plus de 7:30 H. 
Il ne sera pas en retard, trop impatient de rejoindre ses deux compagnons parisiens, photographes eux aussi et de passage dans la région pour quelques jours. Le voilà donc qui prépare sa musette et qui se hâte vers le portail… 
8:15 H, ils partent pour une aventure de douze heures, dans des lieux insolites. Ne me demandez pas où, je ne dirai rien et ce d’autant plus que je ne sais fichtre pas ce qu’ils se sont dits au cours des quelques conversations téléphoniques qui précédaient ce rendez-vous : Dans l’Aude peut être et dans les quelques autres départements limitrophes, allez donc savoir ! Et vous dire que j’en apprenais davantage au cours du repas que nous faisions à la maison le soir serait bien inutile. Mais comme ils m’avaient l’air assez satisfait de leur moisson, c’est d’un commun accord, qu’ils décidaient de repartir en virée dès le lendemain.

dimanche 13 mai 2018

SURPRISE

Parfois on se sent si "chagrin" qu’on a besoin de légèreté… heureusement Jacques possède des trésors dans son escarcelle pour vous faire briller le soleil et vous composer une symphonie du bonheur.
Car c’est bien de cela dont nous allons parler : de bonheur ! Et je puis vous assurer que ces clichés en ont tous les stigmates. 
Et pourquoi je ne suis pas surprise ?

mercredi 31 janvier 2018

Mieux vaut oiseau de bocage que celui qui est dans une cage (proverbe français)

Busard Saint Martin
Si vous êtes d’une nature simplement heureuse, si tout vous émerveille… un rayon de soleil, une abeille sur une fleur, une perle de pluie, un oiseau qui se désaltère à même une marre, alors cette exposition est pour vous.
Elle l’est d’autant plus qu’elle concerne cette belle région de l’Aude qui n’a de frontière que celle qu’on veut bien lui donner. Car voyez-vous, le ciel dans son entier appartient aux oiseaux et il n’en est pas un seul qui franchisse les limites du département en présentant ses papiers d’identité. Ha ! Le bon sens, c’est donc là qu’il se niche.

samedi 6 août 2016

MYTHIQUE !

Si je vous parlais de l’année 1976, qu’en penseriez-vous ?
Houlà, quarante années sont passées par là…
Bien sûr, ça semble un peu loin, mais permettez que je vous livre quelques souvenirs : c’était une année caniculaire qui vit la naissance prématurée d’un futur sapeur pompier de Paris…
Bon, aujourd’hui, il a 40 ans, il est pompier pro et il est toujours petit (je taquine, je taquine). « Petit mais musclé ».
Il ne sait sans doute pas qu’un ambigramme (à vos dictionnaires !) lancé la même année allait devenir célébrissime.

Bien sûr, depuis le grand prix de l’Eurovision – en 1974 – et leur victorieux Waterloo, on les connaissait. Mais en 76, on entendait partout Mamma Mia ou Fernando. C’était soigné, dansant, haut en couleur et… en bottes. Vous avez trouvé ? C’est, c’est…
  • ABBA : 4 lettres, un groupe qui parlent au monde entier (sauf peut être aux moins de 20 ans).
ABBA, c’était des costumes incroyables, des mélodies plus que populaires, une blondeur indéniable avec cette petite touche brune qui lui allait bien. Bref, c’était la Suède et croyez-moi ça vous dépaysait « à l’époque ».
Aujourd’hui… ils ont 70 ans, ils sont rangés, à la retraite. Certes !  Alors pourquoi, je vous parle de cela ?

Orchestre Almeras

Parce qu'à Lézignan, durant les grandes fêtes, rien n’est impossible. Dimanche soir, on fredonnera au son de « Money, money, money » et on dansera aussi sur  « Gimme, gimme, gimme !» avec un Tribute absolument incroyable (le Bootled Abba), qui fait le tour du monde. C’est pas génial, ça ?
Rendez-vous place de la République vers 21 heures. A peine 2 jours à attendre…

Pour patienter, voici les premières prises de vue de ces grandes fêtes lézignanaises.

ça décoiffe, je vous préviens.
Notre Monsieur ASA n’a pas lésiné sur la pellicule, sans doute emporté par les rires, les applaudissements, par l’ambiance festive, la participation du public.
Il nous l’a fait comme un inventaire à la Prévert :
- un orchestre, un discours, une lampe frontale, un show dansant, une batterie, une danseuse, un petit garçon, une petite fille, un rayon laser, un lacet jaune fluo, un parcours, une carte, une arrivée et des coureurs à pied…




LEZI-NOC, C'est 10 Km... de nuit



Les 10 bons gros kilomètres


le départ des lucioles



Oui, des coureurs à pieds la nuit – équipés de leur petite lampe frontale, voilà qui est orignal… on dirait comme des lucioles au loin qui volent, qui volent. Et on trouve cela tellement charmant qu’on en oublie presque le risque encouru, l’effort de concentration que cela demande, les accidents du parcours imposé, sa difficulté.






Tout de même, à bien y réfléchir, ce n’est pas mal la Province… Il s’y passe toujours quelque chose de sympathique.









samedi 2 juillet 2016

RESPECT

On a tout dit sur Jean Claude BORELLY
Qu'il est né en 1953 (Ah ! on aurait pu être en classe ensemble...) Hep ! on se recentre sur le sujet et quel sujet : Jean-Claude BORELLY, un géant de la trompette, du jazz, qui se plait à raconter que c'est en regardant Louis Armstrong à la télé - comme quoi, c'est parfois bien la télé - que le déclic a eu lieu. 
Sa passion pour la trompette ne se démentira pas et l'amènera à  l'école normale de Musique via l'Opéra de Paris... Mais, tout cela est fort bien relaté sur Wikipédia.

Ce qu'on sait moins, c'est la performance physique que cela exige notamment lorsque le concert a lieu en plein air. L'instrument - qui déjà réclame une capacité pulmonaire insensée - lorsque la performance se fait dehors, astreint le musicien à une hydratation maximum. Jean-Claude BORELLY peut boire jusqu'à trois litres d'eau avant de monter sur scène. Est-ce que je vous parle du nombre de chemises... Non... bon, allez je le dis... plus de 4 par concert.



L'artiste a vendu des millions de disques, beaucoup sont des disques d'or. On le connait dans le monde entier. Il s'est sans doute produit dans les plus grandes salles, dans des lieux mythiques, des cathédrales ou des églises et hier, il était à LEZIGNAN au Festival de Gaujac, presque le jour de son anniversaire.



BRAVO AUX ÉCLAIRAGISTES

Et là, sous le Cèdre, lorsque sa trompette a "envoyé" les premières notes, croyez-le, là, il n'y avait pas de mot assez fort pour exprimer le ressenti !
RESPECT, Monsieur BORELLY.







Bien sûr si l'article est là, les photos ne sont pas loin. Les premières sont déjà pleine de MUSIQUE !!!!

Monsieur ASA ne s'est pas privé, en haut, en bas, à gauche, à droite, de jour, de nuit, il s'est régalé, ça se voit, ça résonne sur les clichés. Une façon de faire écho à la résonance des notes dans le parc, une façon de lui témoigner son respect et de lui dire merci.









SA TROMPETTE D'OR





FIDÈLE DEPUIS PLUS DE 30 ANNÉES, SON ACCOMPAGNATEUR (CLAVIER:CHANTEUR)